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CinéGeek

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21 août 2009

Bande annonce d'Avatar, le dernier James Cameron

Le voila, le nouveau James Cameron. Annoncé par beaucoup comme une révolution au des SFX photo réaliste et de sa mise en scène, mais en gestation depuis tellement longtemps qu'une bonne partie des nouveautés ont été déjà vues autre part.

Cette première bande annonce rassure quand même pas mal, car elle renoue avec une imagerie SF chère au réalisateur, et évoque une multitude de classiques de l'age d'or, Heinlein et Siudmak en tête.

Cameron arrivera t il à porter sa mise en scène au niveau de celle de Spielberg sur La guerre des mondes, mais avec un vrai scénario en plus ?

Réponse bientôt !

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13 août 2009

Trailer Legion

Legion est un film avec Dennis Quaid et Paul Bettany.

Dieu a décidé d'exterminer l'humanité, une légion d'anges exterminateurs débarque donc sur terre avec la ferme intention de tout péter. Mais un enfant encore à naitre peut encore nous sauver. L'archange Michael décide de renier Dieu et de protéger l'enfant.

Je sais pas si ça vas être bien, mais l'idée change pas mal, il est quand même rare dans un film américain que le méchant de l'histoire soit Dieu !

"I don't believe in God."
"That's alright, he doesn't believe in you either."

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25 juillet 2009

Trailer The Book of Eli et The Road

Le post apocalyptique doit être à la mode, puisque deux films sur le sujet sont en préparation. Le premier, The Road est  adapté d'un bouquin à la réputation flatteuse, et raconte l'odyssée d'un père (Viggo Mortensen) et son fils dans une Amérique devenue cannibale.

Le second, se paye un casting quatre étoiles, avec la présence de Gary Oldman et Denzel Washington, et raconte les aventures d'un guerrier nommé Eli qui ramènera de l'ordre dans une Amérique en perdition.

En attendant de voir le résultat, j'avoue une préférence pour le premier, bien plus négatif dans son pitch, car si Denzel va sauver le monde (enfin l'Amérique, mais c'est pareil), Viggo risque d'avoir du mal à se sauver lui même.

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25 juillet 2009

Comic Con : un extrait de Tron Legacy

Comic Con oblige, c'est une pluie d'extraits et de bande annonce cette semaine. En attendant Avatar de James Cameron (j'ai pas encore trouvé de belles images, seulement une présentation par le réalisateur), voici une belle arlésienne, Tron Legacy (anciennement Tron 2.0), la suite du fameux film des années 80.

Toujours avec  Jeff Bridges et Burce Boxleitner, et surtout, toujours dans un univers informatique minimaliste, le film va-t-il réussir à fasciner les foules, maintenant que beaucoup de principe de l'informatique sont profondément ancrés dans le grand public.

On retrouve dans cet extrait on retrouve les fameuses courses de moto, avec un différence, on passe d'un univers 2D à une course avec des rampes et des niveaux en 3D, comme dans un bon vieux Wipe Out.


En tout cas, tout cela semble franchement excitant !

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23 juillet 2009

Bande Annonce Alice in Wonderland

Alors, le nouveau Tim Burton sera-t-il de la trempe d'un Edward aux mains d'argent ou plutôt d'un Charlie et la chocolaterie ?

Ce n'est pas avec cette bande annonce qu'on le saura, et il faudra attendre de découvrir le film en salle pour cela. En attendant, on ne peut que regretter le manque d'investissement manifeste du sieur Burton depuis quelques temps, lui qui avait l'habitude a ses début de dessiner chaque plan de ses films, et d'y investir toute son âme. Embourgeoisé et en vrai panne artistique, il ne vit plus que par une réputation flatteuse, mais parfois mal placée (L'étrange noël de Mr Jack, dont la réalisation lui est souvent attribué à tord)

Le geek Burton est finalement devenu ce qu'il a toujours voulu être, un homme respecté par ses pairs et le public, même s'il a du gommer pour cela certaines de ces spécificités. Le voici donc aux commandes d'une nouvelle adaptation (à croire qu'il ne fait plus que ça), produit par Disney. Un comble, pour celui qui commença sa carrière comme animateur pour la maison du grand Walt, et qui parti, incapable de se conformer aux normes restrictive de l'entreprise.

Wait and see, mais le déguisement de Johnny Deep fait déjà mal aux yeux tellement il est moche.


De toute façon, on a le temps, ça sort qu'en 2010.

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14 juillet 2009

Dragon Ball Evolution

Lors de la sortie au cinéma de Dragon Ball Evolution, les critiques unanimes pour décrire le film comme une grosse bouse m'avaient découragé d'aller le voir en salle. Grâce à la sortie du DVD, c'est chose réparée...

Réalisé par James Wong, ancien scénariste de série télé comme X-Files, et accessoirement connue comme Monsieur Mes-films-ne-font-qu'une-heure-dix, c'est surement une des pires adaptation de manga jamais réalisé.

Comme tout les trentenaire, j'ai regardé l'animé Dragon Ball au Club Dorothée, et j'en garde plutôt un bon souvenir. Amusant et dynamique, c'était surtout pas prise de tête et ça passait le temps.

En faire une adaptation en live n'était pas forcément une mauvaise idée. Lors de la baston finale entre Néo et Mr Smith dans le troisième Matrix , tout les geeks de la planète ont eu une discrète érection en imaginant un combat similaire entre Goku et Piccolo.

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Mais James Wong n'a rien à voir avec les frères Wachowski. Réalisateur d'un sympathique Destination finale (son seul film potable), il a également réalisé un film de baston à super pouvoir avec Jet Lee, The One, ce qui lui a surement valu d'obtenir la réal sur ce Dragon Ball. Le Seul problème, c'est que The One n'avait pas de scénario (une voix off en début de film le déballait en deux phrases, et pis c'est tout) et que les scènes d'actions étaient mollassonnes malgré les qualités martiales de son interprète principal. En plus le film faisait seulement une heure dix sans le générique, qui lui faisait une bonne vingtaine de minutes, histoire d'arriver aux une heure trente traditionnel.

Et bien pour le Dragon Ball, c'est pareil, le film commence par une voix off, nous expliquant que piccolo un méchant extraterrestre a tout démolit il y a 2000 ans, et qu'il revient.

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Ils n'ont donc respecté que la coupe de cheveux.

Ensuite, le film démarre comme un film de John Hugues, avec un San Goku ados martyrisé par ses condisciples, dans un lycée très américain. Mais en secret il est amoureux d'une superbe jeune fille, prénommée Chichi, qui elle, est amoureuse de lui, mais en secret.

Dans le manga, Chichi devient la femme de San Goku, cet élément a donc été gardé, mais les auteurs se sont quand même sentis obligé de justifier le nom ridicule du personnage. Ce qui donne un dialogue d'une dizaine de ligne, ce qui sera finalement l'élément du plot le plus développé du film. En comparaison un élément essentiel pour l'histoire comme la raison du retour de Piccolo n'est JAMAIS expliqué.

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"Oué, et bien d'abord, t'es qu'un nullard !"

Pour que le lycée américain ou se trouve Goku fasse un peu plus à la Dragon Ball, le directeur artistique a donc tenté de mettre dans le cadre des voitures qui ressemblent à celles du manga. Résultat, des Smarts et des clios partout, l'hallu totale. Le reste de la direction artistique est du même tonneau, et on ne compte pas les raccords foireux, la photographie changeant du tout au tout d'un plan à l'autre.

Public américain oblige, les acteurs principaux sont joué par des blancs. Goku est donc une endive maigrichonne avec une coupe à la tecktonik. Chichi est elle interprété par une asiatique, parce que ça on peut ; elles sont bonnes.

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C'est parti pour le jeu des 7 erreurs

Le grand père de Goku, (joué par un chinois, les vieux maitre aussi, on peut), lui a appris à ce battre comme un dieu, mais lui a ensuite  fait promettre de ne jamais se battre. Forcément les quaterbacks du lycée lui en font voir de toutes les couleurs. Mais pour ses 18 ans, Goku vas à une fête dans le château de Chichi et fini par se venger de ces camarades sans pour autant se battre. Il emporte avec lui une Dragon Ball, que son grand père lui a donné, en lui expliquant que s'il retrouve les six autres, il pourra réaliser un vœu.

Mais pendant ce temps, Piccolo arrive chez le grand père de Goku, lui fait remarquer qu'ils se connaissent et le laisse pour mort. Le méchant est interprété par James Marsters, le génial interprète de Spike dans Buffy The Vampire Slayer. Il est ici complètement inexploité, couvert d'un maquillage ridicule, et n'a qu'une dizaine de lignes de texte.

A son retour Goku le trouve agonisant, le pauvre grand père n'a que le temps de lui souffler toute les instructions qui lui permettrons d'arriver jusqu'à la fin du métrage.

En gros : trouve les Dragon Balls, fait un vœux et soit un homme mon fils.

Le lendemain, une jeune femme sexy et armée jusqu'au dents, Bulma (joué par une européenne, pour les spectateurs qui kiffent pas les asiatiques), débarque avec un détecteur de Dragon Balls et décide d'aider Goku.

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Elle a une mèche bleu : total respect

Ils partent ensemble à la recherche du maitre du grand père, le maitre Roshi, (Tortue Géniale dans la VF du manga) mais ne le trouve pas. C'est quand ils auront abandonné leurs recherches qu'ils tomberons sur lui par hasard. Roshi est joué par Chow Yun-Fat, dont la carrière américaine est manifestement à bout de souffle. Il est la plupart du temps inexistant, et ridicule le reste du temps, une vraie catastrophe. On en vient à souhaiter qu'il se convertisse au communisme pour qu'il retourne à Hong-Kong.

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Ma carrière est foutue

Ils se rendent tous ensemble dans un lieu secret pour que Roshi entraine le jeune Goku. Pas de chance, le lieu en question est utilisé pour un tournois d'arts martiaux, ou ils croiseront Chichi, qui sinon, n'aurait eu aucune raison de revenir dans le film.

Ils repartent aussi sec, Roshi apprend donc à Goku à faire des boules de feu dans la voiture. Là, ils tombent comme des cons dans un grand trou qu'ils avaient pas vu. En fait un piège tendu par Yamsha, un voleur. Ils finissent par faire amis-amis avec lui. Yamsha et Bulma tombent amoureux, par la magie d'un dialogue de deux lignes.

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j'aurai pas de carrière

Mais les héros réalisent que demain, il y a une éclipse et que donc ça sera la fin du monde, et qu'ils n'auront pas le temps de trouver toute les Dragon Balls. Roshi fabrique donc un piège pour Piccolo avec l'aide de moines noirs (parce que sinon, il n'y avait pas de noir dans le film, vous imaginez la panique)

Et là, patatra, Piccolo réussit à se procurer les sept boules de cristal ! Les héros vont donc se battre avec lui pour empêcher ça, ils prennent la voiture de Yamsha, qui vole, c'est vachement pratique, et la baston commence.

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Ma carrière est... comme d'hab

Et la catastrophe, l'éclipse commence, transformant Goku en grand singe super véner et copain avec Piccolo ! Mais grâce aux conseil de son grand père, il redevient lui même, mais trop tard pour empêcher la mort de Roshi.

Alors il se bat avec Piccolo, ils font des boules de feu, et celle de Goku est mieux, il gagne.

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"Pour faire un avec moi même, il faut que je sois deux"

ceci est un vrai dialogue du film, si si !

Ils font alors un vœu pour faire revenir à la vie le vieux maitre (mais semblent oublier le grand père) et c'est la fin du film.

A ce stade, on regarde sa montre, pour réaliser que le film n'est pas plus long que The One, même si on pouvait avoir l'impression d'avoir regardé la version longue de Titanic.

Je résume : pas de scénario, des bastons nulles, une direction artistique à la ramasse. A oublier, et hop !

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Nos héros, avant la blague finale

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8 juillet 2009

Bande Annonce classé R de Clive Barker's Book of Blood

Annonçant haut et fort sont statut de nouvelles de Clive Barker, Book of Blood promet d'être bien sadique.

Clive Barker, écrivain d'horreur n'a jamais eu de chance avec les adaptation cinématographique de ces œuvres. Il est certes adulé pour avoir crée les Cénobites dans le pourtant raté sur bien des plans Hellrazer, ce qui lui a apporté une certaine célébrité chez les geeks fans d'horreurs.

Même le film Cabal, qu'il a réalisé, a été massacré au montage par des producteurs inquiets du coté autre du film. Il faut dire que Barker fait rarement les choses a moitié, et dépeint  des univers dérangeant et originaux (et souvent sadique). Loin de l'horreur finalement consensuelle d'un Steven King, Barker place souvent au premier plan le point de vue de ces créatures et finalement montrer leur humanité sans pour autant en diminuer la monstruosité.

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Book of Blood ne semble pas faire exception, son nom est mis en avant, mais il n'est pourtant ni auteur du scénario, ni réalisateur. Pour rendre le tout encore plus mal barré, le film n'est sorti seulement pour l'instant qu'en Turquie, Brésil et Allemagne.

La bande annonce ressemble beaucoup à celle d'un torture porn à la Saw ou Hostel, avec un acteur de série télé en héros.

Pauvre Clive Barker, on attend encore un film qui rendra hommage à sa profonde originalité dans le genre balisé de l'horreur. Peut être avec le remake annoncé d'Hellrazer ?


Attention la bande annonce n'est quand même pas pour les âmes sensibles.

Edit : Mais que je suis bête, j'ai oublié l'existence de Midnight Meat Train, de Ryuhei Kitamura. Bon, j'ai une excuse, je ne l'ai pas vu, mais tout le monde dit que c'est très bien.

Retrouvez cet article sur le RedGeBlog.

28 juin 2009

Film Culte Geek : Without a Clue

Without a Clue est une comédie anglaise sorti en 1988 et dont le titre a été traduit en dépit du bon sens  par Élémentaire, mon cher... Lock Holmes. Réalisé par Thom Eberhardt, dont l'autre titre de gloire est d'avoir été à l'origine du pilote de Parker Lewis ne perd jamais, ce film est un authentique film culte geek !

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L'histoire : Le docteur Watson (Ben Kingsley), a créé de toute pièce le personnage de Sherlock Holmes. Obligé d'engager un acteur pour jouer le rôle (l'inénarrable Michael Kaine), il regrette amèrement son choix. L'homme est un coureur alcoolique, et plus personne ne prend Watson au sérieux. Mais une enquête particulièrement ardue, va les obligé à collaborer ensemble pour une dernière fois. D'autant plus qu'un des ennemis les plus terrible du docteur Watson est à l'œuvre dans l'ombre; le Napoléon du crime, Moriarty.

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Pourquoi c'est culte : Rien que l'introduction, recyclant tout les poncifs du genre, comme la casquette de chasse et la pipe, et qui finit par le docteur Watson, houspillant Holmes pour sa bêtise, suffit à graver ce film dans les mémoires.

Le jeux théâtral des acteurs, les multiples références aussi bien à Holmes qu'à la vraie vie de son auteur, Conan Doyle, forment un tout unique qui font de se pastiche un vrai régal.

Un film à voir et à revoir, pour oublier que cet année, le lamentable Guy Richie vas nous servir un Sherlock Holmes d'opérette.

Retrouvez cette review, ainsi que plein d'autres trucs vachement bien sur le RedGeBlog.

26 juin 2009

Bande Annonce Daybreakers

Difficile de faire original dans le film de vampire. A la mode depuis quelques années maintenant, la plupart des grands thèmes issue de cette mythologie ont été traités (à l'exception notable de la parabole sociale, laissée de coté par Hollywood).

Mais il faut avouer que la bande annonce de Daybreakers laisse augurer un film original.

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Sur un postula proche de Je suis une légende de Richard Matheson, le film préfère suivre les vampires plutôt que les survivants.

Un point de vue original donc, à l'image de la reprise de Kate Bush qui conclue la bande annonce.

Pour ne rien gâcher, on a droit à un casting de luxe, avec la présence de Ethan Hawke, Sam Neil et Willem Dafoe.

Retrouvez cette critique sur ici sur le RedGeBlog

23 juin 2009

Bande Annonce Avatar, The Last Airbender

En attendant le vrai Avatar, celui de James Cameron, voici la BA de l'adaptation live du dessin animé The Last Airbender, par M. Night Shyamalan.

Ça roxe pas mal, non ?

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